Dans l'Armée canadienne et l'Aviation royale du Canada des Forces canadiennes, colonel est le grade le plus élevé des officiers supérieurs avant les officiers généraux. Ses galons sont quatre bandes. Cependant, étant donné que les Forces canadiennes suivent des traditions de l'armée britannique, certains régiments de la Force terrestre ont le droit de porter les insignes des grades des officiers de l'armée britannique sur les uniformes de grande tenue ou de mess. Son équivalent dans la Marine royale canadienne est le grade de capitaine de vaisseau.
la deuxime vie du colonel schraeder
Dans la Force terrestre, le colonel est généralement commandant d'un groupe-brigade et, dans la Force aérienne, d'une escadre. Cependant, le colonel occupe aussi diverses positions de niveau stratégique au sein des quartiers généraux comme les quartiers généraux de la Défense nationale à Ottawa.
Ils deviennent provisoirement des chefs de brigade sous la Révolution, car les régiments qu'ils commandent sont devenus des demi-brigades, mais Napoléon Ier rétablira les deux anciennes dénominations. Sous Napoléon, le colonel s'appelle colonel d'empire.
Dans l'armée française, ce grade existe dans l'armée de terre, dans la gendarmerie et dans l'armée de l'air. Il est situé entre les grades de lieutenant-colonel et de général de brigade. Son équivalent dans la Marine nationale est capitaine de vaisseau. L'insigne de colonel est reconnaissable, sur les épaules ou au bout des manches de la veste, par 5 galons :
Dans l'armée suisse, le grade de colonel (en allemand Oberst) se reconnaît par ses trois bandes épaisses. Il se trouve entre le lieutenant-colonel et le brigadier. Il a longtemps été le grade le plus élevé de l'armée suisse, certains colonels occupant alors une fonction d'officier général. 2ff7e9595c
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